A ma droite, Matt, 25 ans – dit le ‘wyer’ (Yer)
A ma gauche, John, 55 ans dit le ‘Baby-boomer’
Matt : « Ce n’est pas juste : vous avez eu droit à l’enseignement supérieur gratuit ! Pas nous, on nous surnomme les nouveaux pauvres ! Vous restez bosser aussi tard que possible et vous bloquez ainsi des niveaux de postes que les plus jeunes lorgnes depuis des années comme le prince Charles attendant le trône de sa mère ! Vous avez fait exploser le marché immobilier (coût moyen d’un logement à Sydney : $500 000) car vous avez eu accès à des facilité de crédit et des taux d’emprunt bas.Et encore, je parle pas du réchauffement planétaire ! Après moi le déluge !! »
« Assez c’est assez ! Il faut un changement générationnel sinon l’Australie déclinera » lance Ryan Heath dans son ouvrage F… Off, It’s Our Turn Now , « Dégagez, c’est notre tour maintenant »
John : « Ah ah ah. Mais ce n’est pas de notre faute si les études étaient gratuites! Et si nous avosn des postes bien rémunéré quand nous avions votre âge c’est que l’Australie avait besoin de main d’oeuvre. Nous avons aussi connu un taux de chômage dépassant les 10% dans les années 80 alors qu’aujourd’hui il est à 4%! Et nos prêt nous les avons fait sur 20 ans !
Matt :« Mais nos prêts nous devons les faire sur 30 ans minimum et avec ça nous serons propriétaire d’un studio à 50 ans ! »
John : « Attend, tu as de la chance aussi! Plein de boulot, internet, la semaine de 40 heures, des parents compréhensifs et présents. Moi mon père bossait dans une mine et il n’était pas payé des fortunes comme maintenant ! »
Matt : Pff de toute façon faut que tu aies toujours raison…Papa !
Bon, restons serein. Cet article est surtout un moyen de jeter un peu d’huile sur le feu bien sur. Les différences générationnelles étant une véritables chances de coopération !
Sur le même sujet :
La generation Y en France
La generation Y au Royaume-Uni
La generation Y en Argentine
La generation Y en Australie
La generation Y en Chine
La generation Y dans le reste du monde…