Nicolas Lombard. Entrepreneur surdiplômé.
“Si le système ne te plaît pas…change le !”
Nicolas illustre plusieurs tendances :
Le besoin de reconnaissance : Ne pas se laisser réduire et catégoriser en fonction de son origine, de son code postal, de son nom, ou, dans le cas de Nicolas, de son école et du titre qui y est attaché. “Polytechnicien”.
Le pouvoir de dire M… : Et c’est peut être la principale raison pour laquelle on parle tant de la culture Y dans l’entreprise. Plombier, chauffagiste, frigoriste ou diplômé de grandes écoles, ils ont les moyens (économiques notamment) de dire merde au système dans lequel ils ne se sentent pas bien pour en changer.
Le sens : Mieux vaut faire une erreur dans ses choix que de réussir dans un chemin qui n’est pas le sien. Si certains sont parfois des “conditionnés lucides” qui cherchent à plaire à leur manager pour continuer à recevoir de bonnes notes/évaluation comme à l’école, d’autres se posent rapidement la question “Est-ce que je fais ce que j’aime ou est ce que je fais ce que les autres attendent de moi ?”
Je suis un ami de Nicolas et je dois avouer que son parcours est un exemple pour toute la Génération Y, je leur tire mon chapeau à lui et à son associé pour cette réussite.
D’ailleurs le monde est petit car j’ai rencontré à Sydney un de tes amis Benjamin, il s’agit de jean-François Tirel (who is a proud aussie now 🙂 ).
Merci pour ton commentaire. Peut-être devrais-je t’interviewer à ton tour comme le Tim Ferris français… ?