Excellent article qui a lançé une vraie discussion de fond sur le blog de Xavier Aucompte b-r-ent.com
Tout y passe et c’est excellent car oui enfin, l’entreprise 2.0 et “la culture Y” non seulement c’est la poule et l’oeuf mais en plus ce n’est pas une certaine catégorie de personnes identifiée par leur âge qui va créer l’entreprise de demain à elle toute seule. Toutes les générations ont leur mot à dire et peuvent contribuer à leur manière à la construire.
Certes, il y a toujours eu des jeunes et il y en aura toujours, mais nier les différences de comportements de cette culture (majoritairement représentée pas les “Y démographiques” mais aussi présente dans les autres générations nom d’une pipe!), c’est nier que leurs parents aussi sont différents !
Bon, je me tais et je laisse les experts parler.
Merci pour cet article sur mon article. En l’écrivant, je savais que la vague de commentaires pouvait être fort et très dur contre moi. J’ai trouvé que globalement la répartition des articles pour et contre était positive à deux titres : le débat existe sur cette génération et l’intérêt de regarder les Y est confirmé par tous.
Je reste à l’écoute de votre site et à bientôt
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Parler générations, c’est d’abord parler “intimement” à chacun de nous et risquer de heurter nos valeurs ou nos croyances. Depuis 5 ans que je travaille à travers le monde sur ce sujet, j’ai pu voir des profs refusant d’entendre parler de Google, des parents élevant leurs efants comme eux-mêmes l’avaient été ou des managers usant toujours d’autorité comme si le respect était toujours un dû.
Pourtant, en même temps, il est très facile de s’y intéresser car nous pouvons facilement nous reconnaitre dans les descriptions à l’emporte pièce que nous offrent les consultants sentant le bon filon.
Le vrai sujet n’est pas de de croire ou non dans les différences apportées par cette culture mais de voir la “big picture” des changements en cours touchant le monde et de ne pas se concentrer seulement sur des différences “inquiétantes” que seul un consultant peut règler. C’est oublier ce qui nous rapproche. Entre générations, pays, culture…